Restauratrice et éditrice en chef de l'Écomusée du Patrimoine
Ce 24e numéro, le vol. 9, no 2 du bulletin La Veille, est le 17e que j’édite. J’ai en effet pris la relève de Josée Riopel en 2015 pour publier le vol. 4, no 1, de la série.
Puis le temps a passé, le bulletin s’est doucement, mais sûrement métamorphosé. Il s’est enrichi de nombreux et généreux collaborateurs. Il s’est organisé autour d’un calendrier régulier et d’un certain nombre de chroniques. Il s’est vu gratifier d’une signature visuelle reconnaissable. Avec le temps, certains de nos collaborateurs réguliers nous ont quittés pour un monde meilleur… en tous cas que je souhaite meilleur. Je pense à Pierre Daveluy, le réviseur incorruptible, à Guy Gagnon, l’historien taphophile et à Jean Décarie le scrutateur infatigable de l’actualité funéraire. Puis d’autres se sont ajoutés. Le magazine s’est étoffé et est demeuré toujours aussi savant. Je ne peux que remercier chaleureusement toutes celles et ceux qui ont accepté de me confier leurs idées et leur savoir. Depuis ses origines, l’édition avait été élaborée en mode PowerPoint, ceci à la demande du président de l’époque qui souhaitait une application simple et populaire. Ce 24e numéro toutefois vient de migrer en mode Word. Cette migration est responsable de certaines modifications dans l’apparence du bulletin certes, mais elle dispose d‘une table des matières dynamique, c’est-à-dire qu’elle offre des titres cliquables facilitant la navigation dans le document. Notre magazine électronique continue d’être lu et apprécié. Nous avons commencé à mettre certains articles en ligne sur Word Press afin qu’ils soient vus par plus d’internautes. Notre webmestre voudrait même que les prochains numéros soient directement conçus sur cette plateforme. À suivre.
J’avais accepté de relever ce défi à la demande d’Alain Tremblay, directeur de la Fédération, en lui spécifiant que j’allais m’en charger pendant 5 ans. Ceci paraissait alors un horizon lointain et gérable. Cet horizon nous l’avons atteint avec le numéro d’hiver. Je suis donc «périmée». Le temps est venu pour moi de passer à autre chose tout comme il revient d’ores et déjà à quelqu’un d’autre de prendre la suite. Le sang neuf est toujours rafraichissant et régénérateur.
Les intéressé(e)s devront déposer leur candidature auprès d’Alain Tremblay, maintenant directeur. Je resterai bien sûr à la disposition de la relève pour assurer le suivi et au besoin, pour répondre aux questions.